Tinubu Square présente son Livre Blanc « Financement des PME et ETI : Un levier, la maîtrise du risque de crédit » auprès des membres de la DFCG*

Lorsqu’une entreprise sollicite un financement auprès d’une banque, celle-ci se montre particulièrement attentive à sa politique de gestion des risques de crédit. Or, si ces procédures constituent un enjeu majeur au quotidien, il n’en demeure pas moins complexe de les mettre en oeuvre et d’en contrôler la bonne application.

Pour répondre à ces problématiques, Tinubu Square, éditeur de solutions de gestion du risque de crédit, a débattu des thèmes de son livre blanc sur le « financement des PME et ETI : un levier, la maîtrise du risque crédit » avec des intervenants experts du sujet (Bertrand FINET, Directeur Exécutif de Bpifrance, Jeanne-Marie PROST, Médiatrice Nationale du crédit à la Médiation du crédit aux entreprises, Judicaël PERRIN, Directeur de la Clientèle Grandes Entreprises de la Banque Palatine, Pierre BOQUET, Directeur de département banque de détail et banque à distance de la Fédération Bancaire Française) pour un débat riche en enseignements.

Si l’octroi de crédits bancaires est essentiel au dynamisme de l’activité économique, il se trouve aujourd’hui quasiment au point mort et se contracte en 2013, pour la seconde fois en trois ans.

Alors que l’on sait l’importance de l’investissement en période de crise, la diminution du volume des crédits bancaires est inquiétante . Elle s’explique principalement par deux facteurs : d’une part, les institutions financières cherchent à réduire leur exposition aux risques et, d’autre part, la baisse d’activité des PME et ETI réduit leurs besoins en financement.

« Nous constatons que les bilans des entreprises sont déséquilibrés et que les marges des entreprises françaises ont tendance à baisser ces derniers temps ce qui impacte leurs fonds propres. Les entrepreneurs français doivent trouver des sources de financement innovantes pour y remédier», constate Bertrand Finet, Directeur Exécutif de Bpifrance.
Dans ce contexte où les entreprises peinent à financer le développement de leur activité, la gestion du poste clients est devenue une priorité car il s’agit d’une source de financement disponible et mobilisable pour toute l’entreprise.

Or pour les entreprises qui auraient des difficultés à accéder au crédit bancaire, des solutions alternatives existent pour répondre aux attentes des PME et ETI en matière de financement à court terme.

« Dans les dossiers sur lesquels nous sommes sollicités, nous avons constaté que les banques souhaitent très en amont mettre en place des solutions type dailly ou affacturage » souligne Jeanne-Marie Prost, Médiatrice Nationale du crédit à la Médiation du crédit aux entreprises.

Il est donc nécessaire que les bonnes pratiques de risque crédit des entreprises se développent grâce entre autre, à des outils de crédit management, dont l’assurance-crédit pour travailler en amont sur la prévention et pas seulement en traitement curatif. « Il n’y a pas de solution miracle mais un faisceau de solutions complémentaires qui peuvent contribuer au financement du BFR des entreprises et dans ce cadre, nous souhaitons remettre la cession Dailly à l’honneur » déclare Jérôme Pezé, PDG de Tinubu Square. « La clé du dispositif est de maîtriser le flux d’information afin que la banque ait une vision précise de la créance » ajoute t’il.

En effet, lorsqu’une PME ou une ETI sollicite un financement auprès d’une banque, celle-ci se montre particulièrement attentive à sa politique de gestion des risques de crédit. Or, si ces procédures constituent un enjeu majeur au quotidien, il n’en demeure pas moins complexe de les mettre en oeuvre et d’en contrôler la bonne application. « Le poste clients est important pour un banquier, il fait partie des fondamentaux d’analyse et sa qualité, sa diversité et la pérennité des relations avec les clients sont des éléments cruciaux dans notre approche du risque » précise Judicaël Perrin, Directeur de la Clientèle Grandes Entreprises de la Banque Palatine.

Il apparaît acquis pour tous qu’une parfaite vision du poste client nécessite dialogue et transparence entre les parties prenantes que seule permet la technologie et plus particulièrement une plateforme en mode Cloud qui autorise une gestion de flux importante et un traitement de données immédiat.

Si ces dernières années les banques ont beaucoup investi pour développer des solutions de traitement de masse de la créance clients et ont de fait privilégié le factoring au détriment de la dailly « des solutions pour sécuriser le poste client sont des solutions qui pourraient offrir une alternative au tout affacturage » déclare Judicaël Perrin.

« La mobilisation des créances clients doit être la pierre fondatrice de la stratégie de financement des entreprises, il est illusoire de vouloir envisager d’autres solutions sans ce pré-requis » conclut Laurent Maheo, DFCG* Ile de France.

Le dispositif de bancassurance encore trop rare dans les entreprises rassemble pourtant, s’il est bien piloté par des solutions technologiques pointues, de nombreux avantages qui peuvent aider les entreprises à mobiliser rapidement et simplement des sources de financements vitales à leur activité.

* DFCG : Association Nationale des Directeurs Financiers et de Contrôle de Gestion

Pour en savoir plus :  www.tinubu.comFiche SaaS Guru

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